« Il avait l’esprit assez simple et c’est, je crois, pour cette raison qu’on l’appelait Candid.e.s. Il n’ était pas très sûr lui-même d’ être un garçon car il avait été élevé dans une famille transgenre où même le chat était gay et transpéciste et vivait avec un lapin. Son père était sa mère et sa mère était son père. Il n’y eut pas jusqu’ à sa soeur qu’ il soupçonnât d’ être sa cousine. »
« Écrasons l’Infâme ! » Ainsi Voltaire signait-il toutes ses lettres avant de fustiger les cancers du XVIIIe siècle, les fanatismes ou l’idéologie gnangnan des philosophes optimistes à la Jean-Jacques Rousseau. Candide, voyage initiatique au coeur de la bêtise humaine, est un chef-d’œuvre ; certes, mais un chef-d’œuvre des Lumières qui nous ont fait tant de mal en détruisant l’âme de l’Occident et qui ont mené à l’immonde Révolution.
Dans cet hilarant pastiche de Candide, le cancer est le gauchisme, et ses métastases sont la bienpensance, l’idéologie LGBTQetc et la « Sacro Sainte Diversité » mâtinée d’islamo-gauchisme de bon aloi. Le jeune Candid.e.s, aussi naïf et inculte que son illustre prédécesseur entamera un voyage initiatique au coeur de la bêtise humaine, voyage qui le mènera de la gauchosphère jusqu’en Nationalie après moult péripéties et aventures salaces. Fort de nouvelles connaissances et d’intelligentes constatations sur l’état de déliquescence dans lequel le progressisme a laissé notre monde, saura-t-il – enfin – franchir la ligne brune et devenir un bon fasciste ?